Un Papillon s'envole

    "Un papillon s’envole.  Et moi, et moi...Et lui et moi ? s'interroge, le funambule dans l'émoi"


Les épreuves et deuils de vie nous déstabilisent.

Le funambule que nous sommes, hésite à avancer, voir, se fige.

A la suite du choc annoncé, le gaillard ou la gaillarde, regard hagard,

dans un long cri ou silence inouï, 

de tout son être, tremble, s'enlise.

    Son ami(e) est parti(e).

 

Subitement, des pas lents. Pas le choix, c'est glissant.

La mort dans l'âme face au brouillard naissant,

l'ébranlé(e) inconscient(e) se sent si petit(e), désaxé(e), mortifié(e), seul(e), voir trahi, fini.

 

 

Le drôle d'équilibriste de vie sur un fils tendu, lui  comme le temps...suspendu.

A un autre moment, en fait  souvent,

il fait en aveugle et protestant, marche arrière ou demi-tour car,

il est vrai, même masqué, ma foi, il est désœuvré. 

 

A-t-il pour autant perdu le quart de la liste de l'inconditionnel Amour ?

Il ne le sait.

 

Mais, Non !

Dans chaque cœur, les aimés sont tous vrais !

ça ne vibre jamais à moitié, car l'Amour aimant, aimanté, aidant, est Don. 

    Lien d'éternité !

 

 

Danseur de corde, désaccordé et pris de vertige,

dans son corps, son cœur et son esprit sous emprise,

lui aux  sens si embrumés, se sent vidé et en vient, livide, à  la méprise

du départ de l'âme légère qui repart,

Car à présent plumée, elle s'envole de la terre vers la grande céleste maisonnée.

 

 

Danseur peau de chagrin est endeuillé. 

Lui ne voit qu'un corps figé, une robe de chair affligée

Ou, un habit délivré, une aube digne sereine enfin reposée.

    En paix...

 

Il vit différemment la corde et l'espace, l'au-delà des nuages

et l'invisible immensité, ses dimensions et paysages aux multiples cent âges.

Face au trépas, l'équilibriste éprouve une sensation d'abandon, de néant !

Alors, à quoi bon ?

    Pourtant...

 

 

A l'instant, Il ne peut alors penser que le temps, les meilleurs souvenirs ceux qui nourrissent tant,

les bonnes âmes amicales et le fil de nouveaux petits bonheur jamais banals,

et même que les  éclairants cadeaux  soleil et étoiles, ces astres reliés et chantant en chœur,

et que la nature morte, terreau, graine puis  fleur...de Vie, est essentiel aussi pour 

apprendre de son désastre horreur.

     C'est ainsi, c'était l'heure.

 

 

Lors d'une période de perte ou de "non  ou mal sur-vivre" , certains affectés et troublés, s'écroulent en pleur ou, croule de rancœur !

D'autres encore autrement, peuvent afficher un paraitre insensible. 

Un leurre, tout est possible face à la douleur.

 

Justement, se mettre très doucement, s'émettre tendrement dans son cœur.

Accueillir les émotions, les sentiments en ébullition.

Et vivre à cœur, d'abord pour elle ou pour lui  !

C'est un hommage béni.

Et c'est déjà l'avancée d'autorisation à la naissance d'un autre pas-sage d'enVie. 

 

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Les papillons envolés ou étoiles qui dans l'ailleurs luisent... en fait, leur étincelle de vie,

cette lumière sortant de l'horizontalité de chair transie, 

Vers la verticalité, dernier soupir assuré mais toute voile gonflée, se hisse légère en transit. 

 

Alors, serait-ce pour l'être, le terrestre resté,

finalement  une révélation de vivance en parallèle duo,

pour encore et encore aimer autrement ?

Non, il ne sait pas ou plus, c'est évidemment trop tôt, et l'a-t-il autrefois cru ?

 

Pour prière en cadeau, oh hisse les voiles, terriens ou matelots.

 

Esprit léger et esprit atterré, ce c'est pas spécialement le même densité communicative de tempo.

Pourtant au début, la métamorphose se dévoile plus vite sur les vagues du "là-haut"...

Puis, puis, plus tard ou plus vite, si vite, un instant ou plus rien ne s'évite, le contact s'établit entre les étendues vibrantes, et enlaçant la voute sacrée et le doute pesé.

L'accort parfait. Une autre musique est née. D'un bref et précieux pas sage, elle est. 

 

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Un miroir, non mouroir, ne renvoie pas, n'annule aucunement l'amour partagé, mais renvoi à une autre vérité de lien de communication, après le soi disant, "Bah, tout s'arrête après. Y a plus rien".

Bien si, il y a un tout depuis toujours, et de grand bien, l'éternel amour et ses liens.

 

La mort. L'âme hors...du corps.

L'âme voyageuse pour d'autres accords.

 

           Difficile à croire ?

           Insoutenable histoire ?

           Insoupçonnable histoire ? A chacun, avec son cœur,  de voir.

 

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Quant au terrassé(e), On ne pourrait que l'envelopper, de :

"Repose-toi, prends ton temps, je suis là, enracine-toi, tu peux t'exprimer, pleurer, crier, je t'ai préparé un bon petit plat, exetera...

 Ces mots pAnsent les maux, ces mots tendres et de majesté... et bien de l'amour de ton envolé, pour l'amour de ton envolé (même si l'amour  fut renié), 

mais de l'amour de toute graine de beauté,

tu peux  renaitre phénix et  jardinier d'un bonheur à partager.

    C'est pareil et différent de l'autre côté.

 

Regarde les tiennes de graines, goutte à goutte libère ta peine, aussi sans aucun doute, tes semences qui ne peuvent qu'être finalement, renaissance.

Crois, grandis, brille pour toi et ainsi,  cela brillera aussi pour elle ou lui. 

En Parallèle,

Âmes, amis, amours en ritournelle.

 

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Le papillon, lui, déploie ses invisibles ailes.

Le papillon luit, dans une lumière blanche d'éternel,

aussi de paillettes dorées pour des nuits de festivités sans sommeil.

L'ailé s'envole, s'élève et surpris, s'émerveille.

 

Cordon d'argent coupé à la matérialité : fait papillon délivré.

Autrement et allégé, dans le tunnel de lumière blanc cristallisé, il s'est engagé.

 

Dès l'arrivée, tant de retrouvailles :

Humaines et animales, guides paternels et

maternels, êtres de Lumière éternelle, 

tous à saluer et,  quand bien même, pour certaines aussi, qui se sont  faite  La Belle.

 

Des âmes, de quelques manières que ce soient, ont déjà pris un aller-retour pour cette vie, oui, la même.

Elles témoignent depuis des siècles et  jusqu'à aujourd'hui, de leur étonnant au-delà.

Cela dit ou non-dit, leur vie ne peut plus être telle quelle.  Une accroche d'aile les a effleuré. Rien n'est plus pareil.

 

Pour tous ceux et toutes celles qui ont fait le grand voyage, plus de douleurs sur le chemin du cœur.

D'un terrestre anti-vol, anti-voilage, papillon est dégagé, 

il décolle, attiré vers l'éternel, matrice de l'immensité.

 

Il est, c'est à privilégier, accompagné de bonnes pensées murmurées, chantées ou  intériorisées. Ainsi, de sincères et détachées prières de lien d'amour entre le sol et l'éther,

lui offrent cadeau de Sérénité.

S'il vous plait, pour eux, c'est à penser, rayonner, méditer.

 

Un lien ou trait d'union de relation se créé, non secret, bien plus puissamment dans et de l'invisible,

grâce au subtil terrestre aussi indicible,

et grâce à la sincérité du cœur et aux multiples dimensions de  l'univers, ce, depuis tant de passés hivers.

 

 

L'ailé, poétiquement, énergétiquement, se repose, se pose puis se métamorphose 

en  une imaginaire mais scintillante étoile.

 

Tandis que le funambule déambule sur la terre école, la terre hôpital ou centrale théâtrale nécropole. Il apprend. Toujours, on apprend.

 

 

Tiens, peut être nerveusement ? Terrestre danseur, grimaçant, rigole.

"On m'a repris mon ami ? Il réfléchit, ressent...

Non, c'est ainsi que va la vie ? C'était son temps.

De l'avoir connu, grandement, je remercie.

 

Au fond de lui,  funambule peut trouver l'équilibre.

Libre, il sait qu'il a encore à tisser ou à peindre sa toile. Ivre ou vivre,  c'est lui doucement, qui décide.

Inspiré, guidé par d'autres aussi de la grande toile de la vie, même hésitant, endormi  mais avide de joie et de connaissance, d'acquis, doucement, fébrilement, courageusement, il grandit.

 

Tous connectés même au delà du voile. Humblement, je le dis.

De l'invisible, on me l'a dit.

 

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L'équilibriste sur sa corde, peut être balloté par les vents, replié sur lui comme un petit enfant,

cloitré dans une camisole cocon de peine, ou, ouvert, trop, pire... crédule  !

Crédule, face aux habits brillants de songes-mensonges  entremêlés d'un semblant d'amour ou plutôt de profits  voir de haine, venant de certains messagers d'entre-deux qui jonglent sans gène !

 

Alors, il est à espérer que la scène  dispose d'un filet  pour le rattraper, ainsi, on ose espérer, que le funambule se sensibilise  à un niveau dit "supérieur" de conscience connaissance, à l'acrobatie inspirée merveilleuse et guidée.

Et, que le danseur de mort et de vie, s'accorde  à ne pas se faire berner par le paraitre de  scrupuleux usurpateurs d'amour et de lumière déformée.

Eux, possèdent un filet ou masque, d'un tout autre ordre, de ténèbres, de discordes.

 

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Toutefois, le funambule équilibriste, danseur et  acrobate

peut mieux voir, ressentir et marcher sur la voie subtile et certes délicate,

et ainsi, peut devenir pour son amour céleste,  Son étoile terrestre !

Non pour exprimer un, stp, avec moi, Reste... mais, un lâcher de lest, un lier en joie, en fête, avec un gratifiant, Merci infiniment !

 

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"Merci d'avoir été dans ma voie de vie terrestre.

Tous deux, endormis, réveillés, éveillés, nous sommes, élèves-enseignants soignés-soignants  manifestes.

Merci, toujours, éternellement, d'être.

Ton âme continue d'apprendre, de vivre, elle est grande sans conteste.

A toi, je souhaite, une douce envolée, un voyage de compréhension de voyage d'âme, de légèreté, de retrouvailles et de fêtes étoilées sans plus de larmes, que de joie pailletée !

Nous nous retrouverons, le moment venu, dans la légèreté reconnue.

 

 

 

A moi, car j'ai ce droit, je me souhaite aussi de m'élever.

 

Je suis un oiseau aux ailes battantes, transparentes.

Lors de mes voyages oniriques ou, ne serait-ce, que de mes songes mélancoliques,

un instant, mes vaporeuses, de te retrouver, sont tout bonnement, heureuses, allégées.

Nos ailes sont caresses, messages, un coucou, des bisous, un présage ?

Elles s'emmêlent  sans cesse, s'enlacent, s'embrassent mais jamais ce divin  lien, ne casse.

 

Nous deux, alors que l'échange, le temps et les anges passent, 

c'est nous deux en tant que parallèle d'ailes connectées dédicaces.

 

Je me sens nourris. A toi, je souris. De moi-même, je ris.

Je t'embrasse mon tendre et si cher aimé(e), mon ami(e)."

 

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Il est vrai que parfois, de l'argenté  fil, un funambule se laisse volontairement tomber.., indicible non docile...

Pensant trouver en son esprit la paix, ou cherchant à retrouver un(e) bel(le) envolé(e) !

A-t-il pour autant franchis le pas  sage, courageux ou imbécile pas heureux ?

Mais, il ne le sait,  le saut est faussé.

 

Un trou impassiblement enlisant pour l'enlisé, mais... est-ce possible de l'en extirper ?

 

Sable mouvant, vers le bas pour le haut, il a osé le grand saut.

C'était un choix, ou un appel, quoi qu'il en soit, "amen".

Je te prie, travaille, œuvre pourvue de lumineuses pelles.

Dessabler, dessaler, mais à toi qui se sait pas, ne salis jamais son choix, son âme, sa vie empreinte à trépas.

 

Au grand jamais, un esprit, une âme anoblit  n'appelle à l'ironie moqueuse de vie.

 

Alors,  pour cette âme différemment en peine,  qu'on lui tienne, soutienne sa traine.

On se doit de tisser beaucoup de fils d'Amour sans aucun jugement ou once de haine,  désamour.

 

 

Tristesse qui enlise... Vide d'un amour, met sous emprise. 

Cela, c'est quand le vivant devient  son propre fantôme, comme hanté, endeuillé d'une part de lui, étourdi, fatigué, il fait un sombre et si long somme.

Dépression, ou de soi, de la terre, abandon ?

 

                                           

Lève-toi, révèle-toi femme ou homme.

Une main, un signe viendra ou, un(e) messager-médium te transmettra.

Mais de messages, de présences, tu ne dois en abuser, mais accueillir-apprendre de ce qui t'a été donné. Pour te choyer, toujours petit à petit, t'élever.

     

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Il est vrai que les dites  injustices cicatrices, telle que :

La maladie, la perte de toute âme, d'un tout tout tout petit même grand, mais un petit,

d’une personne chérie, d'un animal compagnon ami,  c'est désolant,

triste, choquant, pas con mais deuil, douleur, sentiment d'abandon.

 

Il  semble que l'on perd de soi : Manque, incompréhension, peur, pleurs à foison, rage silencieuse  ou orageuse...

ça se vit, survit et non, ce n'est pas un simple bobo en réparation !

Mais période ou cycle de terribles balancements, d'autres vertiges, tout ne tourne plus rond.

Souffrance pour déraison  ?

Abandon pour...acceptation,  pardon et processus pour  résilience en passant par le déni, la colère, la culpabilité, dépression en travail ou alité ?

 

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La mémoire de Son/Sa disparu(e)…en fait qu'on a pas vraiment perdu,   « S’en servir comme d’un « garde-fou ». Et oui, qui lu cru !


Se dire, approuverait-Il (Elle) mon découragement un peu ou tout le temps, ma flamme de vie qui vacille, s’éteint face à ce tout imbécile ou trou béant, indicible ?

 

Parfois, on s'enterre vivant.

Alors, que cela puisse faire étincelle dans les esprits endeuillés… Je le souhaite autant pour eux, si ce n'est plus, pour nos papillons qui méritent aussi d'être légers, allégés, dégagés, heureux, bien ailés.

 

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Telle est mon ressenti depuis petite. Celui-ci est devenu foi, grâce à un humble parcours, surprenant, aberrant et bienveillant...

J'ai eu si peur la première fois enfant....une voie avec tant de célestes voix...et pas que, des retours sphériques d'ici et de l'au-delà.

Merci pour tous ces apprentissages.

 

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Nos êtres chers sont dans la lumière, dans l’Amour. C'est ce que toute âme désire, toujours.

 

Oui, parfois, il faut les aider,  âme à passer, cela passe par le mot fluidique, Aimer. 

 

Ils vont là où plus rien ne s’oppose à Eux.

Plus de douleurs physiques, d'handicaps et de peur à haut risque.

 

Pour moi et tant d'autres, c'est une vérité, cela peut sembler dingue  ou magique,

pour moi c'est tout vécu,  vérifié.

 

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A nous, aussi de guérir d'un héritage, ou d'autres bagages.

Nos envolés nous voient, sentent, savent notre chagrin, notre peine immense à jamais

mais pas sans lendemains.


Je ne dis pas  que lors des étapes de funambulismes endeuillés, il faille se mentir à soi-même et à ses proches aimés,

mais je souhaite que les équilibristes  aillent, en étant accompagné de thérapeutes divers (éthiques et déontologie, pas sérieux s'abstenir), vers l’acceptation de l'envol d'un papillon, en tous les cas, ne pas les retenir car :

 

c'est pour Eux, les envolés, puis pour nous aider aussi, funambules, équilibristes etc... (je sais, cela n'est pas chose aisée de tout comprendre, (c'est aussi  et encore du vécu)...

mais ceci est pour la continuité de chacun, pour l’élévation d'âme, même pour notre destin, l'humain...et,  pour mieux se retrouver… plus tard, dans un autre et lumineux lendemain.

 

 

J'ajoute humblement que l'hyper-empathie aide à cette connaissance, reconnaissance.

Chacun à sa propre sensibilité certes, et à mon sens, on se doit également de la déployer et

d'écouter sa propre essence.

 

 
Les signes nous aident, nous apportent preuve qu’Ils sont derrière la porte d’à côté,

dans un autre monde, une autre sphère, là-haut… dîtes comme vous voulez.

 

 

Bien souvent, on a le sentiment d’être face à un mur et de s’y claquer la tête à tout va.
Bien souvent, nous entendons mais n’écoutons pas.

Parfois, à tout vent, on veut, exige le vœu, d'une réception d'un mot ou du nom nommé jadis heureux.

Ne pas faire ou être carapace  sur laquelle les caresses ou caillou de coucou ou plages de messages peuvent glisser, tomber... ainsi l'envoi désiré au sol se fracasse.

Alors de l'invisible, tristesse s'étonne et fredonne :" Sois doux avec toi, s'il te plait, c'est la voie pour se communiquer."

 

Mais il faut laisser le temps au temps,  et rebondir en mémoire d’Eux, de nos compagnes, compagnons, ascendants et, enfants.

Le message, le signe attendu différemment mais de toutes parts,

viendra fort ou subtilement quand le moment, l'heure pour "le pansement répare", aura sonné de chacun, les meilleurs égards.

 

 

Il y a cicatrice… La soigner comme on peut et ,se faire aider,

par sa famille, ses amis, par la nature et par  le grand Tout, qu'il vous bénisse avant tout.

Cicatrice : espace de lumière à accueillir, remercier ?

Pour le voyage de l'âme, ce n'est pas niais.

 

 

Il y a empreinte de nos « Papillons » dans nos cœurs et nos esprits. 

Garder surtout, les beaux souvenirs, c'est ce qui leur fait plaisir.

S 'il s'avère, qu'ils  y en a de mauvais, appeler au pardon (par le don), à la paix. 

       Alchimiser .

 

Laisser murir en vous, vos émotions et sentiments...à leur égard,

ainsi que pour vous, sans écart. 

Bien justement, bien veillant, portez un autre regard et accueillez en vous, toujours doucement :

le choc, le déni, le déni, la colère, la culpabilité, l'errance, tristesse,  paresse ou rigidité...

 

Se reconstruire comme possible ou subtil,  pour vous,  c'est aussi grandir vos envolés dans le grand tout manifesté.

Ce n'est certainement pas oublier, mais honorer, la vie qui coule toujours partout, là-bas, ici, et en vous.

 

 

Nos envolés nous ouvrent à la connaissance et au merveilleux de la vivance !

Sans cesse, ils nous répètent une fois de plus dans nos cœurs et nos têtes, de ne pas

s'enterrer vivant !

D'Aimer, de s'aimer ici et maintenant,

puis d'honorer et de préserver la terre de  nos enfants et petits-enfants.

 

Ils nous aiment toujours, et c'est même encore bien plus grand qu'auparavant.

Autrement.

 

 

Le papillon s’envole vers la lumière, que nous nous devons aussi d'être, ce serait-ce qu'un petit peu et simplement, là, déjà sur notre terre...(choisie)

Et, il y a encore tant à dire, à vivre...oooh oui !"

                                                      

Ecrit personnel, inspiré tout particulièrement par un "Papillon" cher à mon cœur et,

les Guides de lumière ( aussi de couleurs et sons)

                                                            Véronique du Bois Connexion.